Le chant du violon [Suite, PV Amu]

Nous étions enfin arrivé avec Amu, devant ma nouvelle maison, enfin... villa plutôt. Je fus étonnée que ma mère ait pu me léguer ça. La villa contenait 1 étage où tout les murs côté jardin étaient une immense baie vitrée. Quand je l'avais découverte, j'avais laissé s'échapper un "Wouaw !". L'intérieur était déjà meublé, mais pour l'instant tout était recouvert de draps blancs, recouvert d'un duvet de poussière. Amu m'aida à les secouer dans le jardin. Keva avait enfin confiance en Dia et il jouaient à l'extérieur.

-Attends moi une minute..., fit-je à mon amie.

Je me dirigea vers la porte ou il y avait gravé : Adèle. Le nom de ma mère. Je tourna la poignée et entra dans la chambre. Elle était simplement décorait et ne contenait qu'un lit. Une odeur de médicament flottait dans l'air. Je fronça le nez, dégoutée. Ma mère devait avoir passée ses derniers instant ici... Et sur le lit il y avait une enveloppe avec mon nom écrit dessus. Je m'assis et ouvris la lettre :

Kelly,
Quand tu lira cette lettre, je serais morte, je le sais bien. Mais tu dois être bien grande maintenant. Tu dois avoir dans les 17 ans puisque j'ai demandé à ton père de te léguer cette maison quand tu aura pris ton indépendance ! Enfin... s'il à respecté mon souhait. Mais si tu lis mes mots, c'est qu'il à fait ce que je lui ai demandé, il y a bien longtemps. Ne lui en veux pas trop Kelly.
Je t'aime,
Adèle.

L'écriture devenait tremblante dans les dernière lignes. Je pleurais sans m'en rendre compte. Je rangea la lettre dans son enveloppe et la laissa là où je l'avais trouvé. Je n'avais pas besoin de la relire pour comprendre à quel point ma mère était triste il y a 15 ans de ça...

nous avions marché un peu. J m'attendait a voir une petit maison, voir un appart, et je me retrouve deant une villa immence, avace un grand jardin. J'équarquille les yeux. cette fille est pleinne au as !! Nous entrions dans la grande batisse, pleinne de oussière, et drapé de blanc. Sa sentait le renfermer, montrant que personne n'était venu depus très longtemps. J'ouvrais grand les fenètre, fesant entrais la lumière et l'air extérieur, froid. Puis, nous avons enlevais les draps de meuble, et les avons secouait dehord. On a enlevais un mase fénoménal de poussière. Dia joué enfin avec Keva, douvecement. Je les même vu la laissait monter sur son dos, et courir modérément, sans la ecoué, dans le jardin si grand. j'était entrain de secoué l'un des dernier draps du salon quand elle me dit

-Attends moi une minute...,

Je la regardetr monter a l'étage, et continuer asecouer mon draps. Puis je m'aventuere un peu plus dans les confin de la maison. Partout, de la poussière et des toile d'araigné nousmontrait qu'il faudrait pas mal d'éffort pour tout nettoyer.J'arriver dans un autre salon. Avec une cheminer en pierre. Dessus, il y avait des cadre, mais on ne voyais pas les photo sous la poussièr. J'ouvrais en grand es volet de bois, et m'approcher de l'une d'elle. Je souffler a grand coup dessus. La poussière vola, me fesant tousser. Quand elle retomba, je regarder fixement l'image. Elle représenter Kelly, du moins, je croit, car elle était très jeune. A coté d'une femme et d'une homme. C'est parent. Je rposer le cadre. Et je revenais sur mes pas. Je montais l'escalier, et retrouver kelly dans une piece, assise sur un lit a l'odeur de médicament Je m'asseyait a coté d'elle.

-Tu viens, j'ai trouver des photo, de tes parent, et la poussière ne vas pas partir toute seule. si tu ne veut pas dormir avec des araigné cette nuit, vas falloir que tu vienne.

-Tu viens, j'ai trouver des photo, de tes parent, et la poussière ne vas pas partir toute seule. si tu ne veut pas dormir avec des araignées cette nuit, vas falloir que tu vienne.

Je hocha la tête, les yeux dans le vague. Ma vision était troublée par les dernières larmes qui perlaient au coin de mes yeux. Je les essuya d'un revers de la main et lui répondit :

-Oui... désolée, je me suis laissé aller... à cause de...

Je soupira, fatigué de tout.

-Bon, fit-je plus enthousiaste, je viens tout de suite, j'ai horreur des araignées !

Je souris à Amu, elle avait trouvé des photos de mes parents ? Ensemble ? Moi, je n'en avais jamais vu. Impatiente de redécouvrir le visage de ma mère, je dévala les escaliers suivit de Amu.

-Où as-tu vu des photos ?

Amu, m'entraina là où elle avait trouvé la photo :

-La voila ta photo, tu étais vraiment petite !

Je resta là, bouche bée et le souffle coupé. Je n'avais jamais vu une seule image de ma mère ! Maintenant oui... mon père était à peine reconnaissable : il n'avait pas encore, toutes ses cicatrices qui lui barrait le visage aujourd'hui. Et ma mère... elle était très belle. Beaucoup plus belle que moi. Nos totems étaient là aussi. Pagéra celui de mon père, une magnifique panthère des neiges. Celui de ma mère : un aigle imposant du nom de Gallaad et enfin Keva, qui était un minuscule souriceau déjà agacent entre mes petites mains. Je regarda la date à laquelle avait été prise la photo et frissonna en voyant les chiffre quelle indiquait : 21 novembre. Ma mère était morte une semaine après...

-Merci, murmurais-je à l'intention d'Amu.

Je secoua la tête, chassant les idées noires de mon esprit et m'exclama :

-Alors, cette partie de cartes ? Puis il faut qu'on parle si j'ai tout compris...

-D'accord pour notre partie de cartes, mais pourquoi devrions nous paralit ? Et pour la partie, le petit salon na presque plus de draps, et la table est nnikel, on pourrai joué dessus ?

Je hocha la tête et parti en direction du salon. *On a fait du beau boulot...*. Je m'assit sur une des deux chaises qui encadraient la table et me mit à battre les cartes. Les poils de Keva se dressèrent sur son petit corps blanc. Il a toujours eu horreur de la magie. Enfin de ma magie. Il prétendait que quand je commençais un tour, je devenais complètement folle. Comme possédée. Ce qui provoquait ma maladie fréquemment. Je ne me rendais jamais compte que du sang pouvais couler de mes yeux ma bouche... Je frissonna. *Je me fait peur toute seule... quelle idiote !* Mais j'adorais ça ! Je redescendit sur Terre et regarda Amu, un sourire aux lèvres.

-Oui... je ne sais pas si Ikuto est un ami à toi mais... je m'excuse de lui avoir fait du mal.

Elle hocha la tête et nous nous rendîmes dans le salon. Je fermer les grande fenêtre, pour ne pas faire entrait l'air glaçé pendant que nous nous trouvions ici. La poussière vollait dans les air, telle des petites étoiles sous le soleil. J'ouvrais en gradn les rideau encore fermer, puis je rejoignit Kelly, déjà assise. Je m'assayer sur l'autre chaise, et elle acoomença a battre les cartes. Elle semblais aimé sa. Elle s'arréta enfin, et me regarda en disant

-Oui... je ne sais pas si Ikuto est un ami à toi mais... je m'excuse de lui avoir fait du mal.

a, c'était de sa qu'elle voualit parlé ... Sa m'était sortit de l'esprit,, mais maintenant qu'elle l'évoquer ... Cela m'inquiété. Elle avai qit qu'il était ammocher, et que lui avait elle fait ? Je craignier le pire ...

-Que c'est il passé ? Qu'est ce que tu lui a fait exactement ? lui demandais je d'une vox neutre , légèrement inquiète ...


[ déso, court, pas d'idée XD]

Amu me demanda d'une voix neutre, une pointe d'inquiétude dans la voix :
-Que c'est il passé ? Qu'est ce que tu lui a fait exactement ?
Je soupira... toute cette histoire avait était un fiasco totale et comme je n'avais pas du tout contrôlé la situation, je m'étais laissé allé. Et quand je me laisse aller ça finit mal/
-Et bien...
Je m'accorda un demi sourire et regarda Amu droit dans les yeux :
-Je l'ai électrocuté.
Je baissa la tête honteuse, rouge de honte. Mes cheveux formaient un rideau noir qui dissimulait parfaitement ma peau toute rouge. *Gentils cheveux adorés...* Je vis à travers mon rideau Keva qui gambadait joyeusement avec Dia dehors. Mais je voyais bien qu'il avait l'air anxieux. *Pourquoi ces créatures sont capable de lire dans nos pensées ? Hein, pourquoi ?*

-Comment, quand, et le plus important, vas t il bien ? enfin, pas trop mal, vu son état ?

Sa voix tremblait. J'avais du lui faire peur avec mes histoires... Je décida de répondre à toutes ses questions.

-Ben... je pense qu'il ne va pas trop mal. Mentalement, j'en sais rien.

Je m'accorda un demi sourire bien ironique en pensant à ma petite aventure qui me manquait...

-C'était il y a quelque jours... et comment c'est une bonne question.

Je me leva et brandit ma main droite devant son visage pour lui montrer les filaments bleus électriques qui s'échappaient de mes doigts.

-C'est un pouvoir... on était sous la pluie et comme il m'a touché... je l'ai électrocuté. Accidentellement. Si tu me touche maintenant, ça ne te fera rien sauf si je le veux. Mais si tu me touche en étant mouillée, tu risques de mourir.

Je laissa tomber ma main sur ma cuisse et soupira :

-C'est ce qui s'est malheureusement passé. Je suis dangereuse.

Je regarda Amu avec de grands yeux suppliants et murmura, à peine audible :

-Il me manque...